Le Musée Central de l'Armée a choisi ce terme pour définir une nouvelle et distincte phase de l'histoire militaire algérienne. Elle débute avec les résistances populaires qui se sont déclarées contre l'occupant français et qui se sont propagées à travers tout le territoire algérien.

    Après la prise de Mascara et de Tagdaimt, l'émir édifia «la Smala », sa capitale mobile, en 1841, le musée expose aussi une grande carte géohistorique de la longue marche de l'émir (1832-1847), quelques armes, son authentique étendard, sa tenue, une copie du traité de paix de Desmichels (1834), et quelques présents qui lui ont été offert lors de son exil.

    A l'ouest, sous le commandement de l'Emir Abdelkader ben Mahieddine, le musée lui a consacré une salle où sont exposés des toiles représentant ses grandes victoires tel que la bataille de KhengEnnatah 1832 et la bataille d'El-Maktaa1835 .

    A l'Est, sous le commandement de Ahmed Bey, une maquette de la ville de Constantine et un tableau qui relate la défense de cette ville sont exposés à côté des documents sur l'expédition française en 1836.